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Le constructeur automobile chinois est dans la tourmente suite aux révélations des conditions de travail des ouvriers de l’un de ses partenaires de construction de son usine au Brésil. Photos à l’appui, des preuves formelles d’un traitement proche de l’esclavage, pour des employés travaillant 25 jours sans pause.
Septième véhicule au catalogue de ce constructeur chinois tout juste installé en France, le BYD Sealion 7 se revendique SUV sportif de la marque. Il est vrai qu’avec deux ou quatre roues motrices et des puissances de 308 à 523 chevaux, sa fiche technique a de quoi le laisser croire…
Avant qu’il ne soit trop tard, les voitures électriques chinoises inondent l’Europe. D’ici peu, une importante taxe viendra réduire à néant leur compétitivité. D’ici là, les constructeurs ont tout intérêt à venir produire plus localement.
Apple aurait signé avec BYD pour développer une batterie de voiture électrique spécifique, lorsqu’en 2017 la marque à la Pomme cherchait un partenaire pour alimenter le moteur de son projet Titan. Depuis, Apple a totalement tourné le dos à l’automobile, mais BYD est devenu un géant.
D’ici deux ans, ils seront sept géants des mers à livrer les dizaines de milliers de voitures électriques BYD à travers le monde. Un pari fou, dans un contexte où l’Europe et les États-Unis ne veulent plus d’importation automobile chinoise.
Conformément à sa stratégie européenne, le géant chinois BYD est sur le point d’officialiser le projet d’une nouvelle usine de production, cette fois-ci en Turquie. L’investissement atteindrait le milliard d’euros et éviterait à la marque d’exporter ses voitures par cargo.
Face à la hausse des droits de douane, BYD veut renforcer son organisation pour continuer de déployer ses voitures électriques en Europe. Pour la France, le Danemark, la Belgique et le Luxembourg, le constructeur chinois a trouvé un partenaire : Ayvens. Avec lui, des contrats de leasing par milliers.
« BYD et l’industrie chinoise sont les bienvenus » annonce le gouvernement. Après la visite d’Etat du Président Xi Jinping, l’heure est aux renforcements des liens économiques et à un potentiel contrat pour venir produire en France.
