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Les plans de la nouvelle administration visent à réduire de 50 % l’enveloppe allouée aux missions scientifiques de l’agence spatiale. Des millions de dollars en moins qui risquent d’anéantir de nombreuses recherches, voire un centre entier.
La startup californienne s’était fait connaître en imaginant un système de centrifugeuse, capable de catapulter des petites fusées à une vitesse de 7 500 km/h. Trois ans après ses derniers tests, SpinLaunch a annoncé une première mission… par le biais d’une fusée à la propulsion conventionnelle.
Le retour des Américains sur la Lune est un impératif national, et ce avant que la Chine n’y pose à nouveau les pieds, assurait Jared Isaacman, le prochain administrateur de l’agence spatiale américaine à des sénateurs la semaine dernière. Demain, il sera auditionné devant la commission du commerce du Sénat, avant de prendre les commandes […]
Vanguard 1, le deuxième satellite envoyé par les États-Unis il y a 67 ans, fait l’objet de convoitise d’ingénieurs et d’historiens. Après un examen approfondi, l’astre artificiel pourrait être capturé et ramené sur Terre. Une occasion unique pour se rendre compte des effets de l’exposition spatiale à long terme sur les matériaux.
SpaceX Fram2 vise à étudier les pôles Nord et Sud de la Terre avec l’aide d’une capsule Crew Dragon aménagée, intégrant une coupole pour observer sans contrainte les aurores boréales et australes. La mission va durer entre trois et cinq jours, et a été entièrement financée par un client privé, le milliardaire Chun Wang.
Une mystérieuse spirale bleue a été visible dans le ciel en français et un peu partout en Europe la nuit dernière. Il ne s’agissait pas d’un OVNI, mais d’une fusée Falcon 9 de SpaceX.
Butch Wilmore et Suni Williams ont quitté la Station spatiale internationale après 277 jours en orbite qui leur aura permis d’effectuer de nombreuses missions pour la NASA, dont une sortie extravéhiculaire. Sur Terre, Elon Musk a préféré qualifier leur prolongement de séjour d’une erreur de Joe Biden. SpaceX a pourtant ses torts.
D’ici 2100, la mégaconstellation de satellites Starlink, lancée par SpaceX, ne pourra certainement plus évoluer de la même manière qu’aujourd’hui. En cause, la contraction de la haute atmosphère, indispensable pour que les débris de satellites se volatilisent plutôt que d’errer à jamais dans l’espace.
Les coupures budgétaires au sein de l’agence spatiale américaine ont entraîné une première vague de licenciements, dont celui de la scientifique en chef Katherine Calvin. De grands changements sont à prévoir, et notamment sur le sujet du programme Artemis.
Après de multiples retards, le lanceur spatial européen a décollé jeudi 6 mars avec le satellite-espion français CSO-3. Un lancement sans aucun problème, avec une propulsion des deux boosters à poudre d’Ariane 62 et le rallumage du moteur Vinci.
