Ajout automatique par WPeMatico
Le moteur de recherche de Microsoft et son Copilot semblent depuis quelques heures être victimes d’une sérieuse panne. Une avarie problématique puisqu’elle met à genoux par la même occasion des moteurs de recherche alternatifs, comme Qwant et DuckDuckGo, qui s’appuient sur Bing pour fournir leurs résultats.
Le moteur de recherche de Microsoft et son Copilot semblent depuis quelques heures être victimes d’une sérieuse panne. Une avarie problématique puisqu’elle met à genoux par la même occasion des moteurs de recherche alternatifs, comme Qwant et DuckDuckGo, qui s’appuient sur Bing pour fournir leurs résultats.
Microsoft et Apple peuvent souffler. La Commission européenne a en effet jugé que ni Bing, ni iMessage n’étaient des services essentiels après une enquête de plusieurs mois. Ils échappent ainsi aux exigences du DMA.
À six semaines de la mise en œuvre de la législation sur les marchés numériques (DMA) en Europe, la Commission européenne serre les derniers boulons et parfois, il peut y avoir de bonnes surprises pour les contrôleurs d’accès.
Copilot gagne son indépendance. L’assistant de Microsoft qui carbure à l’IA d’OpenAI se décline maintenant sous la forme d’une application autonome sur Android, en attendant iOS.
Tout ça pour ça ! En début d’année, Microsoft avait écraser le champignon pour intégrer le plus rapidement possible un bot reposant sur les capacités développées par OpenAI pour ChatGPT. L’éditeur pensait tenir là l’arme ultime pour faire trébucher Google… mais finalement non.
ChatGPT est maintenant capable de surfer sur le web ! Grâce à Microsoft Bing, le chatbot d’OpenAI peut générer des réponses en s’appuyant sur des informations en temps réel. Cerise sur le gâteau, l’IA fournit aussi les sources de ses contenus.
Microsoft est prêt à tout pour promouvoir son navigateur Edge et son moteur de recherche Bing. À tout et à n’importe quoi…
Pour ne pas avoir mis en place un moyen de refuser les cookies sur son moteur de recherche Bing, Microsoft est condamné à une amende de 60 millions d’euros par la CNIL.
