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Les États-Unis ont révélé une nouvelle cyberattaque attribuée au groupe chinois Salt Typhoon. Cette annonce porte à neuf le nombre d’opérateurs de télécommunications infiltrés par les espions mandatés par Pékin. Washington dénonce la négligence des entreprises dans la mise en place des mesures de cybersécurité standard destinées à se protéger contre les cybercriminels.
Un ultime recours devant la Cour suprême, et une rencontre de la dernière chance avec Donald Trump : il ne reste plus qu’un mois et deux jours avant le 19 janvier, date à laquelle la plateforme de vidéos courte doit être cédée à des entités non chinoises sous peine d’être interdite aux États-Unis.
Les États-Unis ont du mal à expulser les cybercriminels chinois de Salt Typhoon des réseaux de télécommunications américains. Selon les autorités, il n’est pas inconcevable que les espions hantent toujours les infrastructures. C’est pourquoi les employés du gouvernement doivent changer leurs habitudes…
Le groupe de Mark Zuckerberg vient de lancer un appel d’offres pour trouver des « développeurs d’énergie nucléaire », cherchant lui aussi, comme d’autres géants du numérique et de l’IA, de nouvelles sources d’électricité pour faire fonctionner ses centres de données et ses modèles d’IA générative.
Brendan Carr sera dès le mois de janvier à la tête de la FCC, l’autorité en charge des télécoms outre Atlantique. L’ancien avocat républicain a d’ores et déjà averti qu’il allait « restaurer le droit à la liberté d’expression des Américains ».
La plateforme de partage de vidéos courtes a jusqu’au 19 janvier prochain pour trouver un acheteur américain, à moins d’être interdite aux États-Unis. Mais le réseau social pourrait échapper à cette exclusion du marché américain grâce à Donald Trump… si ce dernier s’en tient à sa promesse de campagne de sauver le réseau social. Selon […]
L’homme le plus riche du monde fera bien partie du gouvernement de Donald Trump. Il aura la mission de couper dans les dépenses inutiles de l’Etat fédéral. Cette nomination, bien qu’attendue, laisse encore de nombreuses questions en suspens.
Selon plusieurs médias, le leader mondial des semi-conducteurs aurait prévenu ses clients chinois qu’à compter du lundi 11 novembre, il ne livrerait plus aucun semi-conducteur de 7 nanomètres et moins. La société taïwanaise aurait reçu une « lettre d’information » du département du Commerce américain : une information qui n’a pas été confirmée officiellement mais […]
Les autorités chinoises auraient recommandé aux entreprises locales de cesser d’acheter des semi-conducteurs estampillés Nvidia : un moyen de faire gagner des parts de marché aux fabricants de semi-conducteurs locaux, et de s’affranchir en partie des restrictions américaines. Mais en pratique, les sociétés chinoises continueraient d’acheter des puces américaines.
Après quatre semaines d’intenses débats outre Atlantique, Gavin Newsom, le gouverneur de Californie, a finalement choisi de mettre son veto au tout premier projet de loi qui aurait rendu, aux États-Unis, les entreprises d’IA responsables des dommages causés par leurs systèmes.
